Les critères d’un bon indicateur :
Simple
Un bon indicateur doit être parlant et ne nécessite généralement pas de mode d’emploi.
Avec un visuel impactant et un fond lisible, son interprétation doit rester simple pour avoir une valeur ajoutée.
N’est pas une pastèque
Avez-vous été confronté à une situation où un indicateur donnait une autre impression (verte) que la réalité (rouge)? On appelle cela un indicateur pastèque. Un bon indicateur doit être transparent et représente fidèlement l’objectif mesuré, même si le résultat ne ravirait pas forcément tout le monde.
Fédérateur d’actions
Un indicateur a peu de valeur s’il est seulement destiné à informer sur un état. Il doit générer les bonnes actions correctives derrière pour atteindre l’objectif mesuré.
C’est pour cela qu’un indicateur est porté par un responsable .
Outil de communication
Un bon indicateur est généralement diffusé pour faire adhérer les acteurs concernés autour de l’objectif mesuré. Il est recommandé de partager une fiche d’identité claire de l’indicateur pour une compréhension unifiée de sa signification et de son public.
Automatisé (au maximum)
La qualité de données est primordiale pour concevoir un indicateur parlant.
Le processus de collecte et d’analyse des données en entrée de l’indicateur doit être le plus automatisé possible afin de faciliter une prise de décision rapide et efficace.
Sujet d’amélioration continue
Un indicateur pertinent doit être constamment revu afin de garder sa valeur ajoutée. Il est judicieux de réévaluer sa capture de l’objectif mesuré
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